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Vendredi 6 décembre de 18h à 20h – Séance de dédicace avec la bédéiste Anne Simon

Pour réserver : https://www.eventbrite.fr/e/seance-de-dedicace-avec-la-bedeiste-anne-simon-tickets-1082265127129?aff=oddtdtcreator

Bienvenue le jour de la Saint-Nicolas à Anne Simon pour la dédicace de son dernier album HENRY, JAMES ET LES AUTRES paru chez Misma.

Diplômée de l’École Supérieure de l’Image d’Angoulême et des Arts Décoratifs de Paris, ANNE SIMON est une membre active des Éditions MISMA.
Elle a signé plusieurs biographies dessinées chez Dargaud dont FreudMarx et Einstein en collaboration avec Catherine Maier et L’Homme à la fourrure, avec Catherine Sauvat.
Elle est également illustratrice pour la presse et l’édition jeunesse.

On adooooooooore sa série féministe et politique Les Contes du Marylène!

Sixième opus des “Contes du Marylène”, HENRY, JAMES ET LES AUTRES est un recueil d’histoires courtes qui se concentre sur des épisodes entraperçus dans les cinq précédents ouvrages. Grâce aux confessions d’Henry et James, Anne Simon approfondit un peu plus son univers et donne la parole aux personnages secondaires de sa série.

Chaque album des Contes du Marylène peut se lire indépendamment des autres.

Mercredi 27 novembre à 19h – Rencontre avec Valérie Nimal

Pour réserver : https://www.eventbrite.fr/e/rencontre-avec-valerie-nimal-tickets-1058310177229?aff=oddtdtcreator

Dans le cadre de la campagne Lisez-vous le belge, bienvenue à Valérie Nimal à propos de son recueil de nouvelles De vins et d’allégresses édité par Murmure des Soirs.

C’est au Portugal que débute ce livre et qu’il se clôt, au cœur d’une citadelle médiévale et de ses vignobles. La narratrice y a trouvé refuge sur une place nommée Notre-Dame-de-la-Joie. Hasards, traditions, éblouissements des sens sont les maîtres mots de ses souvenirs. Au fil de rencontres et de péripéties, elle va retrouver l’odorat et le goût, mais aussi donner un sens à ce qui n’en avait plus.
Dans De vins et d’allégresses, on découvre un langage, une culture associée à des traditions, des senteurs, des couleurs, des sons et des sensations.
Valérie Nimal vous emmène sur les routes du vin au Portugal, en Italie, en France, en Croatie… Dans ces fictions, à chaque vignoble ses joyeuses correspondances : vin d’amphores en Alentejo, plaisirs d’enfance et résistance au Piémont, corridas et féminisme en Castille, nostalgie et liberté en Anatolie, amitié et pardon en Slavonie, vin orange en Loire ou vin jaune du Jura avec, en prime, une recette diabolique.

Valérie Nimal a enseigné à Copenhague et Bruxelles. Créatrice du podcast les Minutes célibataires (Pure FM), elle a été journaliste et voyageuse-blogueuse. Son roman Nous ne sommes pas de mauvaises filles (éditions Anne Carrière) a été finaliste du prix Première et du prix Saga 2019.

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Dimanche 24 novembre à 12h30 -Flirt flamand chez TULITU

Pour réserver : https://forms.office.com/pages/responsepage.aspx?id=nS1K23BxckCw_K-H7fe53wrcKy0elMhJtbh0zMFFyYVUMDEyTzhNOThMSDcxSDFVMVhCMk5PVEdGNSQlQCN0PWcu&route=shorturl

Chaque année, le Flirt Flamand part à la découverte de ce qui s’écrit (de mieux) au nord du pays. Cette année encore, Passa Porta propose 5 rendez-vous du 22 au 24 novembre, le temps d’un week-end littéraire « à la flamande » pour découvrir quelques-uns des meilleurs livres récemment traduits vers le français d’auteur·ices néerlandophones.

Chacun des rendez-vous a été pensé avec les auteur·ices flamands : « Met wie zou je graag praten ? » « Avec qui aimeriez-vous dialoguer ? » Que ce soit sur base d’un souhait explicite de l’auteur·ice invité·e ou bien d’une intuition, nous avons constitué des duos avec une personnalité (artiste, écrivain·e, traducteur…) du monde francophone.

Nouveauté : chacun de ces dialogues successifs prendra pour cadre une librairie phare de Bruxelles. Soit 5 rendez-vous gratuits, en français, prenant place à : laLibrairie CFC, aux Yeux Gourmands, chez Brin d’acier, chez Tropismes et chez TULITU. Pour faire de ce « flirt flamand » un vrai moment d’échange. Par-delà les soi-disant frontières de la langue !

Flirt numéro 5 chez TULITU : Rachida Lamrabet et Veronika Mabardi

Côté flamand ?

Rachida Lamrabet est l’autrice d’une œuvre déjà nourrie et multiprimée en néerlandais : Vrouwland, Een kind van God (lauréat du Nederlandse BNG Nieuwe literatuurprijs), De man die niet begraven wilde worden ou encore Zwijg, allochtoon !. Avocate, Rachida Lamrabet a également écrit des textes de théâtre et des opinions. Son dernier roman Vertel het iemand vient d’être traduit vers le français aux éditions La Croisée des chemins sous le titre Raconte-le à quelqu’un. Elle y fait l’histoire, lyrique et impitoyable, d’un jeune Berbère envoyé sur le front français au début de la Première Guerre mondiale. Son journal du front, témoignage de l’horreur de la guerre et du racisme des officiers, sera utilisé contre lui lors d’un procès pour trahison.

Côté francophone ?

Veronika Mabardi (Leuven) aime à parler de son environnement familial originel comme suit : « Une maman flamande, un papa à moitié belge, à moitié égyptien, deux frères et une sœur, dont deux nés en Corée. » Dramaturge et autrice reconnue, lectrice bilingue, elle a reçu le Prix SACD & Scam, 2022 pour l’ensemble de son œuvre, et le Grand prix du Roman de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique 2022 pour Sauvage est celui qui se sauve, récit bouleversant qui tente de dessiner Shin Do, le garçon coréen qui est devenu son frère à 7 ans, par adoption.

La rencontre sera animée par la journaliste Anne-Lise Remacle.

Une rencontre organisée grâce à

Mercredi 13 novembre à 19h – Rencontre avec l’autrice Lucile de Pesloüan

crédit photo : Yann Stofer

Pour réserver : https://www.eventbrite.fr/e/rencontre-avec-lautrice-lucile-de-peslouan-tickets-1040986768447?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Lucile de Pesloüan pour discuter de son premier roman “Tout brûler” paru à la Ville brûle.

Lucile de Pesloüan est déjà venue chez TULITU pour un atelier de fanzine féministe. La voici de retour pour son premier roman qui aborde la question de l’inceste.

Lucile de Peslouän écrit des textes intimes, directs, poétiques et engagés. Autrice de poésie, de livres de littérature jeunesse et générale, elle publie aussi dans des revues littéraires et des magazines. Elle est entre autres l’autrice de Pourquoi les filles ont mal au ventre ?, premier volume d’un triptyque de romans graphiques illustrés par Geneviève Darling qui ont reçu plusieurs prix et distinctions. Depuis dix ans, elle crée des fanzines sous le nom de Shushanna Bikini London. A partir de septembre 2024, elle sera artiste en résidence in situ au collège Iqbal Masih avec le soutien du département Seine-Saint-Denis. 

Son roman Tout brûler est sorti aux éditions La Ville brûle en France le 6 septembre et aux éditions Leméac au Canada le 11 septembre 2024.  

Stella, protagoniste et narratrice, retrace les abus subis dans sa famille. Trente ans après les faits, elle décide de porter plainte, de dénoncer inceste et omerta, agresseurs et complices. Sa vie bascule alors. Aux yeux de sa famille et de la société, elle devient la personne par qui le mal est arrivé.
La gorge nouée, les dents serrées, on plonge dans ce roman en vers libres comme dans le plus sombre des gouffres.

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Vendredi ! et samedi 9 novembre – Festival Féministe toi-même à la Tour à Plomb à 1000 Bruxelles

Rendez-vous les 8 et 9 novembre 2024 au Centre Tour à Plomb pour la 11e édition de notre festival préféré…

Avec un programme de rêve : https://feministetoimeme.be/programme-2024/

Dont : Tulitu présente le samedi 9 novembre à 18h : Douce Dibondo + Gia Abrassart

photo @Elijah Ndoumbe

Rencontre (1h)

Comment dire la rage qui nous habite face aux violences structurant nos vies et nos intimités ? En dialogue avec la journaliste et militante décoloniale Gia Abrassart, elle reviendra sur ses combats et ses engagements au travers de sa poésie et ailleurs.

La rencontre sera suivie d’une séance de dédicace.

Journaliste française d’origine rwandaise, militante afroféministe queer, Douce Dibondo est l’autrice de l’essai «La Charge Raciale, Vertige d’un silence écrasant” (fayard) ainsi que de deux recueils de poésie, dont le tout récent «infra/seum» dont elle dit qu’il est la poésie de la colère. Elle est cocréatrice du podcast «Extimité».

Créatrice de synergies et de rencontres, Gia Abrassart est journaliste culturelle décoloniale. Elle a porté le projet «Café Congo», co-fondé le «Collectif Warrior Poets» et co-dirigé l’ouvrage «Créer en postcolonie 2010-2015».

Réservation obligatoire : https://feministetoimeme.be/tulitu-presente-douce-dibondo/

Mardi 6 novembre à 18h au Grand Hospice- Rencontre avec Alain Denault

Pour réserver : https://www.eventbrite.fr/e/rencontre-avec-le-philosophe-alain-denault-tickets-1040881192667?aff=oddtdtcreator

Bienvenue au philosophe québécois Alain Denault pour discuter de son dernier essai “Faire que!” paru chez LUX.

Alain Denault est professeur de philosophie à l’Université de Moncton (Canada) et directeur de programme au Collège international de philosophie à Paris. Sur l’idéologie managériale, il a écrit « Gouvernance » et La médiocratie (Lux), en plus d’avoir fait paraître plusieurs essais sur les multinationales et les souverainetés de complaisance parus chez Écosociété et Rue de l’échiquier.

Alain Denault est déjà venu chez TULITU pour son essai passionnant “La Médiocratie”.

Le voici de retour avec “Faire que!”.

Comment s’orienter dans une époque marquée par des bouleversements écologiques sans précédent, auxquels, manifestement, ni les États ni le capital ne remédieront? Comment agir politiquement à l’ère de l’inouï, quand on ne dispose d’aucun pendant historique pour appréhender les catastrophes annoncées? Comment s’engager quand l’extrême droite sème la confusion et détourne la colère des objets réels? Comment s’y prendre quand le libéralisme dissout tous nos repères dans la gouvernance technocratique?

Que faire? Cette question obnubile la pensée politique depuis plus d’un siècle. Alain Denault nous convie à en penser les prémisses et les incidences pour l’ancrer dans les temps présents. Hors de toute programmatique serrée, mais avec la lucidité qu’on lui connaît, il invite notamment à explorer un nouveau mode d’engagement politique, la biorégion.

Alors que faire? Livrer la guerre à la médiocratie. Évoquer les enjeux qui fâchent. Penser à l’échelle collective. Mal faire les choses, faire mal. Cesser de se poser la question et sortir de la sidération de l’écoanxiété.

Le moment est venu de faire que!

Alain Denault est professeur de philosophie à l’Université de Moncton (Canada) et directeur de programme au Collège international de philosophie à Paris. Sur l’idéologie managériale, il a écrit « Gouvernance » et La médiocratie (Lux), en plus d’avoir fait paraître plusieurs essais sur les multinationales et les souverainetés de complaisance parus chez Écosociété et Rue de l’échiquier.

La rencontre aura lieu à la salle Gansbeek au Grand Hospice (7 rue du Grand Hospice à 1000 Bruxelles).

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

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Mercredi 23 octobre à 18h au Grand Hospice – Rencontre avec l’autrice Mardi Forestier

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-lautrice-mardi-forestier-tickets-1028111147117?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Mardi Forestier pour une rencontre autour de son deuxième roman Harde publié aux éditions trouble.

Harde est une romance revisitée aux accents de récit initiatique avec les personnages de la Comedia Dell’Arte – Pierrot, Colombine et Arlequin. L’histoire débute dans une teinturerie produisant son propre “jaune purrey” à partir de l’urine de vaches nourries de feuilles de mangue. Colombine y est lavandière aspirant à l’envol, Pierrot utilise les pigments pour peindre. Leur quête de liberté les amènera à croiser Arlequin, fauconniaer non-binaire exaltae. Harde est un triangle amoureux joyeux où jeux de domination fluctuent. Ponctué des chansons de Beth Gordon, ce roman explore la métamorphose, mêlant le réalisme au merveilleux à la manière de l’Orlando de Woolf ou de la fable populaire.

Mardi Forestier vit et travaille à Bruxelles, après des études artistiques à l’ENSBA (Lyon) et à l’ESAAA (Annecy). Son travail d’écriture mêle poésie, science-fiction et imaginaire, oscillant entre prose sonore et narration. Pétrie de néologismes, fourmillante et ornementale, son écriture vise à anticiper le futur de la langue. En 2023, elle publie Les Lichennes (ESAAA éditions), formidable roman d’anticipation enraciné dans les écologies queers. Elle écrit et dirige depuis cinq ans le fanzine de poésie Mamma Rassise et fait partie de La Satellite, collective d’artistes et plateforme curatoriale basée à Bruxelles, qui travaille autour des féminismes dans la science-fiction contemporaine.

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

La rencontre aura lieu à la salle Gansbeek au Grand Hospice (7 rue du Grand Hospice à 1000 Bruxelles)

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Jeudi 17 octobre à 18h30 – Rencontre avec Chacha Enriquez à propos de l’essai “Sexualités et dissidences queers”

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-lactiviste-queer-chacha-enriquez-tickets-1028095069027?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Chacha Enriquez qui a coordonné l’essai Sexualités et dissidences queers paru aux éditions du Remue-Ménage.

À la jonction des savoirs universitaires et militants, ce livre entend démystifier l’emprise qu’exercent les normes sur nos sexualités. L’ordre sexuel comporte un ensemble de règles souvent tacites régulant les dimensions les plus intimes de nos vies. De quoi est-il constitué? Et surtout, qu’a-t-il comme effet sur certain·es membres de la société?

Cet ouvrage collectif réunit des personnes qui réfléchissent à la libération des pratiques sexuelles et amoureuses à partir de la sociologie, de la sexologie, du travail social ou d’une perspective de terrain. Il permet une rare prise de parole commune de dissident·es sexuel·les autour des bisexualités, du plaisir, de la culture du consentement, du sexting, du travail du sexe, du cruising gai, de la pornographie, du polyamour, de l’éducation à la sexualité, du chemsex, du BDSM et de l’asexualité.

Face au backlash anti-LGBTQ+, nous refusons d’être écrasé·es, nous refusons de disparaître.

Avec des textes de MP Boisvert, mathilde capone, Marianne Chbat, Julie Descheneaux, Chacha Enriquez, Jorge Flores-Aranda, Blake Gauthier-Sauvé, Marie Geoffroy, Stéphanie Gingras-Dubé, Adore Goldman, Julie Lavigne, Miko Lebel, Hugues Lefebvre Morasse, Sabrina Maiorano, Mélina May, Rossio Motta-Ochoa, Alex Nadeau, Gabrielle Petrucci, Gabrielle Richard, Em Steinkalik et Gui Tardif.

Chacha Enriquez est enseignant.e en sociologie au collégial et chargé de cours à l’UQAM, membre de l’Iref.  Iel est également activiste queer depuis une vingtaine d’année. Sa spécialisation porte sur les études queers, 2ELGBTQIA+ et féministes. 

Iel est activiste queer depuis une vingtaine d’années.

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

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Mardi 8 octobre à 18h – Rencontre avec l’autrice brésilienne Leticia Nascimento

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-lautrice-bresilienne-leticia-nascimento-tickets-1028069512587?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à l’autrice brésilienne Leticia Nascimento pour nous parler de son livre “Le transféminisme Genres et transidentités” paru aux éditions Anacaona.

Reprenant la célèbre confrontation Ne suis-je pas une femme ?, l’autrice trans Leticia Nascimento interroge : Et moi, ne puis-je pas être une femme ?

Si on ne naît pas femme mais qu’on le devient, alors le transféminisme a toute sa place dans le mouvement féministe.

Cet essai appelle à la reconnaissance des transidentités – dont la construction n’est pas plus « artificielle » que l’identité cisgenre – et s’oppose aux discours pseudo-scientifiques sur la transidentité comme déviance ou pathologie.

Dénonçant l’inégalité de traitement entre femmes cis et transgenres (tandis que les unes peuvent se faire refaire la poitrine comme elles l’entendent, les autres doivent passer par l’évaluation d’équipes multidisciplinaires), l’autrice insiste sur l’importance de l’autodétermination (« Nous par nous-mêmes ! ») comme marque de refus du CIStème. Se basant sur une pensée décoloniale et intersectionnelle, sa réflexion pluralise les sujettes du féminisme, en incluant d’autres corps et identités de genre qui ne répondent pas à la binarité homme/femme.

Leticia Nascimento, professeure universitaire, qui s’autodéfinit femme noire, grosse et trans, fait des ponts entre les différents systèmes d’oppressions. Invitant à l’empathie, sa réflexion pousse les personnes cisgenres à s’interroger sur leur identité et leurs privilèges cis, tout en encourageant l’empouvoirement des personnes transgenres.

La rencontre sera animée par Ariane Herman et l’éditrice Paula Anacaona assura l’interprétation.

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