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Jeudi 20 juin de 18h à 20h – Dédicaces avec Joanna Lorho

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/dedicaces-avec-joanna-lorho-tickets-911358847847

Bienvenue à l’illustratrice Joanna Lorho pour une séance de dédicaces de l’album jeunesse Le hibou abasourdi scénarisé par Marzenna Sowa, édité par les Editions de la Pastèque.

Sur la branche d’un grand arbre, au milieu de la nuit, un hibou n’en finit plus de contempler le silence. Alors que tous les animaux de la forêt immense semblent endormis, il se pose, continuellement, la même question : pourquoi suis-je le seul à rester éveillé ? Incapable de fermer l’œil, il décide un beau matin de se lancer dans une quête de réponses. Chemin faisant, il crée toute une commotion parmi les animaux qu’il rencontre, avant de comprendre que, finalement, rien ne l’oblige à faire comme les autres… 

Joanna Lorho dessine aujourd’hui pour la bande dessinée et l’illustration après avoir fabriqué 2,3 films d’animation maison. Elle cultive des petits projets musicaux à la voix et au piano, et enseigne à l’ERG depuis une dizaine d’années. Originaire de Bretagne, elle vit et travaille depuis 20 ans à Bruxelles. Le Hibou abasourdi est son premier livre jeunesse édité aux éditions de la Pastèque.

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles

Jeudi 13 juin à 19h à la Maison poème – Apéro TULITU & L’Oie du Cravan avec névé dumas et Juliette Langevin

Pour réserver : https://my.weezevent.com/apero-poesie-tulitu-et-loie-du-cravan

Pour son apéro de fin de saison, Midis poésie laisse carte blanche à la librairie TULITU et aux éditions L’Oie du Cravan pour une soirée consacrée à la poésie québécoise contemporaine. Dans ce cadre, nous accueillons les autrices Névé Dumas et Juliette Langevin pour parler de leurs livres respectifs Poème dégénéré et Fille méchante – toutes deux éditées aux éditions de L’Oie du Cravan.

La rencontre sera animée par Ariane Herman de la librairie TULITU et par Hermine Ortega, éditrice chez L’Oie du Cravan.

névé dumas

névé dumas est une poète, herboriste et travailleuse communautaire franco keb blanche. Elle vit sur les terres non cédées du peuple Algonquin Anishinaabeg et son travail s’intéresse aux expériences trans en relation avec le plusqu’humain, l’écosexualité et la survie dans un monde en changement radical. Ses écrits sont parus dans des revues, une anthologie, et elle a publié trois livres de poèmes : au monde – inventaire, animalumière et pourritures terrestres.

Née en 1996 à Montréal, Juliette Langevin aime crier, prendre des notes et regarder les gens vivre de petites catastrophes; école secondaire dans le quartier St-Michel, a volé du vin dans au moins un château en France, lu quelques textes dans les bars obscurs. Elle se dit professionnelle des collections : caresses de chats doux, bris de vitre dans la ruelle, talons hauts dans la pisse, tutus, poèmes écrits sur le coin d’une table ou de certains lits. Trieuse de boutons à 13 ans, archiviste post-mortem de Nelly Arcan à 15, dompteuse de chiens-loups à Rawdon, femme de ménage dans le Mile-End. Vous pourriez la croiser en train de distribuer des glitters dans un show de bruit, faire sécher des fleurs à la sortie des poubelles, ou recouverte de silence, un livre entre les mains, au milieu de la fête. Sous le pseudo de Nina Shulman elle a publié plusieurs zines. Fille méchante est son premier livre.

Jeudi 6 juin à 19h à la Bellone – Rencontre avec Bettina Zourli

Réservation vivement souhaitée : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-bettina-zourli-tickets-911331195137

Bienvenue à Bettina Zourli à l’occasion de la parution de son livre Le temps du choix Etre ou ne pas être mère paru chez Payot.

Diplômée en études de genre et militante féministe, Bettina Zourli s’est notamment fait connaître sur Instagram à travers son compte @jeneveuxpasdenfant et via son podcast Amour(S).

Selon l’autrice, la société doit offrir aux femmes les conditions nécessaires pour qu’elles puissent décider de devenir mères ou pas.

Présentation de Payot :

“Dans l’histoire, les femmes ont passé bien plus de temps à tenter de ne pas tomber enceintes que le contraire, et ce pour une très bonne raison : la maternité les fragilise. Seul l’avènement de la contraception dans les années 1960 a sonné l’heure du choix : le réel désir d’être mère peut advenir dès lors que la possibilité de ne pas l’être existe.
Pourtant, cette liberté semble encore sous contraintes : injonction sociale à enfanter, stigmatisation des femmes ne souhaitant pas avoir d’enfant, inégalités économiques et sociales pesant sur les mères, violences au sein de la famille nucléaire… D’un côté, on nous rebat les oreilles avec le désir d’enfant, comme si l’unique destin des femmes était la maternité ; de l’autre, les entraves à la liberté de procréer persistent et les violences faites aux mères gagnent du terrain.
Or, une société qui met la pression aux femmes pour qu’elles deviennent mères puis les violente de la sorte n’est-elle pas profondément malade ? La responsabilité immense que représente la prise en charge de la vie d’un enfant doit être pensée à la mesure de son importance : les nombreuses pressions pesant sur les femmes justifient que leur soit offert, individuellement, le temps du choix, ainsi que, collectivement, une réflexion urgente autour de notre modèle de société.”

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Jeudi 23 mai de 18h à 20h – Séance de dédicaces avec la bédéiste Salomé Lahoche

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/seance-de-dedicaces-avec-salome-lahoche-tickets-891567912627?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Salomé Lahoche pour une séance de dédicaces.

Après sa bd hilarante La vie est une corvée publiée chez Exemplaire, Salomé Lahoche nous revient avec Ernestine parue aux éditions Même pas mal.

Voici le mot de la maison d’édition :

“Salomé Lahoche à travers les yeux d’Ernestine aborde avec humour et justesse des thèmes sociaux comme la charge mentale, la santé psychique, la cellule familiale, les rapports interpersonnels, les addictions, la mort.

Ernestine est une petite fille rousse de 9 ans tout à fait comme les autres, aux détails près qu’elle fume comme un pompier, joue au poker en ligne, extorque de l’argent aux voisins et fugue à Cuba.

Autour d’elle, la cellule familiale tient une place cruciale. Son frère ainé Adrien est un adolescent lymphatique. Son père Hervé est artiste-peintre, désinvesti de manière générale. Et sa mère Louise est architecte d’intérieur, épuisée de porter tout le monde à bout de bras.

Une déroutante fresque familiale dans laquelle, on suit les frasques tragi-comiques d’Ernestine en forêt, à l’école, à Noël, à un enterrement et chez le psy.”

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Mercredi 22 mai à 18h à la Bellone – Rencontre avec Sarah Schulman

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-sarah-schulman-tickets-890318264897?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Sarah Schulman à l’occasion de la parution en français de son livre Les liens qui empêchent – L’homophobie familiale et ses conséquences, publié par les éditions B42 (Traduit de l’anglais par Élodie Leplat).

Dans Les liens qui empêchent, Sarah Schulman analyse la reproduction de l’homophobie au sein du cercle familial, quand bien même ce dernier devrait être le lieu du développement et de l’épanouissement de chacun·e.

En s’appuyant aussi bien sur des théories sociologiques que sur des témoignages individuels, l’autrice décortique les mécanismes qui conduisent les familles à exclure certains de leurs membres. Bien que l’homosexualité soit de plus en plus représentée dans les médias et dans la culture populaire, Sarah Schulman montre en quoi celle-ci est souvent caricaturée et pathologisée. Ainsi, cette visibilisation ne s’accompagne pas nécessairement d’une meilleure acceptation des personnes homosexuelles dans le cercle familial. 

Virulent plaidoyer visant à faire de l’homophobie une question de société qui ne serait plus uniquement reléguée à la sphère privée, Sarah Schulman offre ici des pistes permettant de mettre un terme à la souffrance endurée par de nombreux·ses homosexuel·les au sein du foyer familial.

Sarah Schulman est romancière, dramaturge et militante des droits humains et LGBTQIA++. Professeure titulaire à l’université de la ville de New York (CUNY), elle a été membre d’ACT UP New York et a fondé en 2001 ACT UP Oral History Project, un projet de recueil et d’archivage de témoignages de personnes ayant activement participé aux actions menées dans le cadre de la lutte contre le sida aux États-Unis dans les années 1980 et 1990. Elle est également impliquée dans le mouvement de solidarité avec le peuple palestinien et fait partie de l’organisation activiste Jewish Voice for Peace. Elle est l’autrice de plusieurs livres aux États-Unis et deux de ses romans ont été traduits en français, Après Delores et Maggie Terry, aux éditions Inculte.

La rencontre sera animée par Peggy Pierrot, travailleuse intellectuelle et enseignante à l’ERG.

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COMPLET!!!! Mardi 21 mai à 18h – Rencontre suivie d’une dédicace avec la bédéiste Mirion Malle

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-suivie-dune-dedicace-avec-la-bedeiste-mirion-malle-tickets-895371539377?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Mirion Malle pour sa nouvelle BD Clémence en colère parue aux éditions la ville brûle.

«Parfois on écrit avec une idée en tête et on réalise une fois le livre fini qu’un autre thème, se dessinait en creux. C’est comme ça que je disparais parlait de dépression, mais aussi de réaliser, de comprendre les liens entre le social et l’intime. Adieu triste amour, une histoire de repos, de soin, parlait aussi de s’articuler dans les marges le temps de se construire. Et dans ces deux livres, il était question de guérison. Clémence en colère parle de colère, mais pas seulement. Il y est aussi question de guérir, de se soigner par le groupe, en cherchant l’égalité, le soutien, la compréhension ; en essayant de changer les règles du jeu autour de soi pour, peut-être, améliorer le reste.»
Mirion Malle

La rencontre sera animée par Ariane Herman, libraire chez TULITU.

En partenariat avec le centre culturel belgo-roumain Arthis

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Mercredi 15 mai à 18h à la Bellone – Discussion autour du livre d’Ariel Salleh “Pour une politique écoféministe Comment réussir la révolution écologique”

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/discussion-autour-du-livre-pour-une-politique-ecofeministe-dariel-salleh-tickets-888360519227?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à la Bellone pour une discussion entre July Robert (traductrice et autrice) et Anne Delizée (docteure en traductologie, langues et lettres) à propos d’une nouvelle publication coéditée par les éditions Wildproject et le passager clandestin : Pour une politique écoféministe de l’australienne Ariel Salleh.

La moitié de la population mondiale pratique au quotidien des valeurs dites féminines, qui s’avèrent être aussi des valeurs écologiques. Loin de tout essentialisme, Ariel Salleh met en évidence le rôle majeur des femmes, mais aussi des paysan·nes et des peuples autochtones, dans le soin et le maintien des milieux de vie, un travail vital mais invisible aux yeux du capital. Là où le prolétariat de Marx a échoué, elles et ils sont en mesure de constituer une nouvelle classe révolutionnaire – le moteur manquant d’une véritable
révolution écologique.

Engagée dans les luttes contre l’exploitation des terres aborigènes dans les années 1970, Ariel Salleh insiste sur le rôle des femmes des Suds. Selon elle, l’écoféminisme est la synthèse de quatre révolutions – écologique, féministe, socialiste et décoloniale – qui ne pourront pas aboutir les unes sans les autres.

Préface de Vandana Shiva
Postface de Jeanne Burgart Goutal

Ariel Salleh (née en 1944), sociologue et militante australienne, est depuis les années 1990 une figure internationale de l’écoféminisme. Elle a notamment codirigé Plurivers (Wildproject, 2022).

July Robert est la traductrice de cet essai incontournable sur l’écoféminisme.

En partenariat avec

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Mardi 19 septembre à 19h – Rencontre avec l’auteur Kevin Lambert

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/billets-rencontre-aveclauteur-quebecois-kevin-lambert-695409688097?aff=oddtdtcreator

Après Querelle et Tu aimeras ce que tu as tué, Kevin Lambert nous offre un nouveau roman Que notre joie demeure (Le nouvel Attila).

Avec ce roman, Kevin Lambert change de registre et nous offre un incroyable roman décrivant la chute lente mais certain d’une grande architecte québécoise qui va se réfugier dans la lecture de Marcel Proust pour tenter de sauver son âme.

Une analyse très fine de la société des ultra riches, une langue incroyable, du Proust contemporain, drôle et cynique!!!!

La rencontre sera animée par Ariane de TULITU.

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COMPLET!!!!! Mercredi 13 septembre à 19h – rencontre avec l’autrice Rose Lamy

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/billets-rencontre-avec-rose-lamy-695384773577?aff=oddtdtcreator COMPLET mais vous pouvez téléphoner le jour-même pour voir s’il y a eu des désistements.

Après le succès de Défaire le discours sexiste dans les médias, Rose Lamy nous revient avec un nouvel essai En bons pères de famille (Lattès).

Cet essai mêle intime et politique pour défaire le mythe des bons pères de famille et remonter à la source d’un système de domination.

Féminisme assuré 100% 🙂

La rencontre sera animée par Ariane de TULITU.

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Jeudi 7 septembre à 19h – Rencontre avec l’autrice Négar Djavadi

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/billets-rencontre-aveclautrice-negar-djavadi-695348244317?aff=oddtdtcreator

Nous avions adoré ses deux romans précédents Désorientale (Liana Levi) et Arène (Liana Levi).

Négar Djavadi nous revient à la rentrée littéraire avec un troisième roman La dernière place (Stock).

Nous sommes très heureuses qu’elle aie accepté notre invitation à venir parler de son nouveau roman.
A nouveau, l’autrice nous parle de l’Iran et de sa famille au travers d’un événement tragique :
“le 8 janvier 2023, le vol 752 d’Ukraine International Airlines reliant Téhéran à Kiev s’écrase six minutes après le décollage, entraînant la mort des 176 passagers et membres de l’équipage. Ce crash survient dans un contexte de tensions extrêmes entre l’Iran et les États-Unis. À travers l’histoire de sa cousine Niloufar Sadr, présente à bord de l’appareil, Négar Djavadi relate cette tragédie.
Traumatisme national, la chute du PS752 est l’un des événements annonciateurs du mouvement révolutionnaire qui s’est emparé de l’Iran à l’automne 2022.”

Un roman haletant qu’on ne lâche pas une minute!

Avec le soutien de la