Monthly Archives: April 2024

Jeudi 23 mai de 18h à 20h – Séance de dédicaces avec la bédéiste Salomé Lahoche

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Bienvenue à Salomé Lahoche pour une séance de dédicaces.

Après sa bd hilarante La vie est une corvée publiée chez Exemplaire, Salomé Lahoche nous revient avec Ernestine parue aux éditions Même pas mal.

Voici le mot de la maison d’édition :

“Salomé Lahoche à travers les yeux d’Ernestine aborde avec humour et justesse des thèmes sociaux comme la charge mentale, la santé psychique, la cellule familiale, les rapports interpersonnels, les addictions, la mort.

Ernestine est une petite fille rousse de 9 ans tout à fait comme les autres, aux détails près qu’elle fume comme un pompier, joue au poker en ligne, extorque de l’argent aux voisins et fugue à Cuba.

Autour d’elle, la cellule familiale tient une place cruciale. Son frère ainé Adrien est un adolescent lymphatique. Son père Hervé est artiste-peintre, désinvesti de manière générale. Et sa mère Louise est architecte d’intérieur, épuisée de porter tout le monde à bout de bras.

Une déroutante fresque familiale dans laquelle, on suit les frasques tragi-comiques d’Ernestine en forêt, à l’école, à Noël, à un enterrement et chez le psy.”

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Mercredi 22 mai à 18h à la Bellone – Rencontre avec Sarah Schulman

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-sarah-schulman-tickets-890318264897?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Sarah Schulman à l’occasion de la parution en français de son livre Les liens qui empêchent – L’homophobie familiale et ses conséquences, publié par les éditions B42 (Traduit de l’anglais par Élodie Leplat).

Dans Les liens qui empêchent, Sarah Schulman analyse la reproduction de l’homophobie au sein du cercle familial, quand bien même ce dernier devrait être le lieu du développement et de l’épanouissement de chacun·e.

En s’appuyant aussi bien sur des théories sociologiques que sur des témoignages individuels, l’autrice décortique les mécanismes qui conduisent les familles à exclure certains de leurs membres. Bien que l’homosexualité soit de plus en plus représentée dans les médias et dans la culture populaire, Sarah Schulman montre en quoi celle-ci est souvent caricaturée et pathologisée. Ainsi, cette visibilisation ne s’accompagne pas nécessairement d’une meilleure acceptation des personnes homosexuelles dans le cercle familial. 

Virulent plaidoyer visant à faire de l’homophobie une question de société qui ne serait plus uniquement reléguée à la sphère privée, Sarah Schulman offre ici des pistes permettant de mettre un terme à la souffrance endurée par de nombreux·ses homosexuel·les au sein du foyer familial.

Sarah Schulman est romancière, dramaturge et militante des droits humains et LGBTQIA++. Professeure titulaire à l’université de la ville de New York (CUNY), elle a été membre d’ACT UP New York et a fondé en 2001 ACT UP Oral History Project, un projet de recueil et d’archivage de témoignages de personnes ayant activement participé aux actions menées dans le cadre de la lutte contre le sida aux États-Unis dans les années 1980 et 1990. Elle est également impliquée dans le mouvement de solidarité avec le peuple palestinien et fait partie de l’organisation activiste Jewish Voice for Peace. Elle est l’autrice de plusieurs livres aux États-Unis et deux de ses romans ont été traduits en français, Après Delores et Maggie Terry, aux éditions Inculte.

La rencontre sera animée par Peggy Pierrot, travailleuse intellectuelle et enseignante à l’ERG.

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Mardi 21 mai à 18h – Rencontre suivie d’une dédicace avec la bédéiste Mirion Malle

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-suivie-dune-dedicace-avec-la-bedeiste-mirion-malle-tickets-895371539377?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Mirion Malle pour sa nouvelle BD Clémence en colère parue aux éditions la ville brûle.

«Parfois on écrit avec une idée en tête et on réalise une fois le livre fini qu’un autre thème, se dessinait en creux. C’est comme ça que je disparais parlait de dépression, mais aussi de réaliser, de comprendre les liens entre le social et l’intime. Adieu triste amour, une histoire de repos, de soin, parlait aussi de s’articuler dans les marges le temps de se construire. Et dans ces deux livres, il était question de guérison. Clémence en colère parle de colère, mais pas seulement. Il y est aussi question de guérir, de se soigner par le groupe, en cherchant l’égalité, le soutien, la compréhension ; en essayant de changer les règles du jeu autour de soi pour, peut-être, améliorer le reste.»
Mirion Malle

La rencontre sera animée par Ariane Herman, libraire chez TULITU.

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Mercredi 15 mai à 18h à la Bellone – Discussion autour du livre d’Ariel Salleh “Pour une politique écoféministe Comment réussir la révolution écologique”

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/discussion-autour-du-livre-pour-une-politique-ecofeministe-dariel-salleh-tickets-888360519227?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à la Bellone pour une discussion entre July Robert (traductrice et autrice) et Anne Delizée (docteure en traductologie, langues et lettres) à propos d’une nouvelle publication coéditée par les éditions Wildproject et le passager clandestin : Pour une politique écoféministe de l’australienne Ariel Salleh.

La moitié de la population mondiale pratique au quotidien des valeurs dites féminines, qui s’avèrent être aussi des valeurs écologiques. Loin de tout essentialisme, Ariel Salleh met en évidence le rôle majeur des femmes, mais aussi des paysan·nes et des peuples autochtones, dans le soin et le maintien des milieux de vie, un travail vital mais invisible aux yeux du capital. Là où le prolétariat de Marx a échoué, elles et ils sont en mesure de constituer une nouvelle classe révolutionnaire – le moteur manquant d’une véritable
révolution écologique.

Engagée dans les luttes contre l’exploitation des terres aborigènes dans les années 1970, Ariel Salleh insiste sur le rôle des femmes des Suds. Selon elle, l’écoféminisme est la synthèse de quatre révolutions – écologique, féministe, socialiste et décoloniale – qui ne pourront pas aboutir les unes sans les autres.

Préface de Vandana Shiva
Postface de Jeanne Burgart Goutal

Ariel Salleh (née en 1944), sociologue et militante australienne, est depuis les années 1990 une figure internationale de l’écoféminisme. Elle a notamment codirigé Plurivers (Wildproject, 2022).

July Robert est la traductrice de cet essai incontournable sur l’écoféminisme.

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