Bienvenue à Delphine Houba et Michel Cermak pour une rencontre autour de leur livre Partageons le temps de travail Entre chômage et burn-out : mode d’emploi pour la semaine de quatre jours en Belgique publié chez Presse Couleurlivres.
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Dimanche 12 mai à 15h Rencontre avec l’auteur Laurent Herrou
Mardi 7 mai à 18h – rencontre avec Abdellah Taïa
Nous sommes très heureuses d’accueillir Abdellah Taïa à l’occasion de la parution de son roman La vie lente aux Editions du Seuil.
La rencontre sera animée par Arezki Semrouni.
En collaboration avec Ciné Club de l’INSAS.
Réservation souhaitée à l’adresse courriel librairie@tulitu.eu
Mercredi 24 avril à 18h Dédicaces avec Sarah Cheveau
Sarah Cheveau est autrice et illustratrice bruxelloise, collaboratrice du magazine Cuistax.
Elle se fera un plaisir de vous dédicacer ses deux premiers albums jeunesse : “1, 2, 3 marelle à doigts” paru chez Thierry Magnier Éditions et “Sissi” chez Albin Michel Jeunesse.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Mercredi 10 avril à 19h Rencontre littéraire et musicale autour d’Elliott Smith
Bienvenue à la rencontre de Thierry Jourdain (auteur) et Yann Lafosse (traducteur ayant participé au livre, également musicien) pour la présentation du livre sur Elliott Smith, paru chez Le mot et le reste.
“Initialement compositeur et musicien dans le groupe de rock alternatif Heatmiser, le jeune Elliott Smith de Portland travaille rapidement seul à la composition d’albums très sobres à guitare/voix dont le succès est grandissant. Conformément à son style de vie, il met en place un univers poétique, plutôt sombre et délicat, à contre-courant du grunge qui envahit la planète et les années quatre-vingt-dix. La reconnaissance vient avec son troisième album et sa rencontre avec Gus Van Sant pour lequel il écrira « Miss Misery » pour le film Good Will Hunting. Nominée aux oscars en 1998 face au mastodonte « My Heart Will Go On » interprété par Céline Dion pour Titanic, la chanson, et son interprétation lors de la cérémonie, marquent les esprits et posent le jeune génie en étendard du cool. Cette reconnaissance ne l’empêchera pas de mettre fin à ses jours, à l’âge déroutant de 34 ans. Icône des années quatre-vingt-dix, on le range volontiers aux côtés de Nirvana, Beck ou Jeff Buckley.”
La rencontre sera suivie d’un court showcase de My North Eye (folk, guitare acoustique – Harmonium / voix) et Hell Strange reprenant Elliott Smith et jouant des compositions personnelles inspirées par Elliott Smith.
My North Eye est le laboratoire musical de Yann Lafosse (ex Dirge). En one man band, à l’harmonium ou à la guitare, il joue une folk noire et minimale où l’on entend des échos de Nico, de smog et du velvet underground. avec des musiciens.
Hell Strange (Thomas Dubois) est un musicien normand s’étant fait connaître au sein de formations indie-rock et garage, il s’échappe en solo avec Hell ! Strange. Une lointaine envie devenue une évidence, à l’instar de l’exigence mélodique défendue par ses modèles (Teenage Fanclub, Nada Surf, et autres orfèvres power-pop).
https://hellstrange.bandcamp.com/releases
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Mardi 9 avril à 19h Rencontre avec Gaëlle Josse
Vendredi 5 avril à 19h Rencontre avec Diane Chateau Alaberdina
Venez à la rencontre de Diane Chateau Alaberdina à l’occasion de la parution de son premier roman chez Gallimard La photographe.
Française d’origine russe-tatare, Diane Chateau Alaberdina a 25 ans. Elle a été lauréate du Prix du Jeune écrivain en 2018.
Le mot de l’éditeur : “Son premier roman, empreint d’une atmosphère mystérieuse, très troublante, explore la complexité de notre rapport à l’image et à un monde parfois vertigineux.”
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Samedi 30 mars de 14h à 16h – Festival Passa Porta
Le Passa Porta Festival est une vraie fête des lettres. Plus de 100 auteurs et artistes, belges et internationaux, y rencontrent leurs lecteurs au cours d’un week-end au cœur de Bruxelles.
TULITU est fière d’accueillir un des événements : Les bibliothèques idéales :
Six autrices et auteurs se relayent pour répondre aux questions de Kerenn Elkaïm autour de leur bibliothèque personnelle. Pénétrez dans leur intimité pour connaître (presque) tout sur leurs écrivains favoris, les livres qui les transportent et leurs manies de lecteurs.
Durant une quinzaine de minutes chacun(e), ils évoqueront tour à tour les raisons pour lesquelles ils ont dévoré (ou dévorent encore) les œuvres de certain(e)s écrivain(e)s avec gourmandise.
Horaire
14:00-14:15 : Lyonel Trouillot
14:20-14:35 : Florence Noiville
14:40-14:55 : Régis Jauffret
15:00-15:15 : Marie Modiano
15:20-15:35 : Nathalie Skowronek
15:40-15:55 : In Koli Jean Bofane
Jeudi 21 mars à 19h – Rencontre avec Larry Tremblay
Larry Tremblay est une figure incontournable du monde littéraire au Québec : il a publié une trentaine de livres comme romancier, dramaturge, poète et essayiste. Son œuvre, traduite dans une vingtaine de langues, connaît un retentissement international. Son roman L’orangeraie a remporté de nombreux prix au Québec et en France.
Nous sommes très heureuses d’accueillir notre ami Larry Tremblay à l’occasion de la parution de son récit poétique “L’oeil soldat” à La Peuplade.
“Récit poétique bouleversant, L’œil soldat présente l’univers d’un jeune homme halluciné et du pacte qu’il passe avec le Diable. Ce pacte lui permet, par un simple jeu de paupières, de changer de sexe, de couleur et d’époque. Devenu ainsi soldat en un clignement d’œil, il ne peut soudain plus taire l’horreur de la guerre. Pendant qu’il pleut des morts, une pensée adolescente à fleur de peau fait rage. Qu’y a-t-il derrière ce qui est ? Combien de fois encore faut-il trancher les gorges ? Que faut-il cesser d’être pour apaiser le rouge ? Soutenant un rythme implacable, Larry Tremblay témoigne d’une expressivité brute et imagée pour révoquer les fondements de la violence. Il invite à décontaminer les mots, à bien ouvrir l’œil – le gauche ou le droit.”
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Mardi 19 mars à 19h – Rencontre avec Sylvie Tissot
En partenariat avec l’Atelier Genre(s) & sexualité(s) de l’ULB, nous sommes heureuses d’accueillir Sylvie Tissot à propos de son livre “Gayfriendly. Acceptation et contrôle de l’homosexualité à Paris et à New York” publié chez Raisons d’agir.
Sylvie Tissot est professeure de science politique à l’Université Paris 8. Après avoir écrit un livre sur l’histoire de la catégorie de
«quartier sensible» en France, elle a mené une recherche sur la
mobilisation des classes supérieures pour la « diversité » aux
États-Unis, qui a été publiée en 2011 sous le titre “De bons voisins. Enquête dans un quartier de la bourgeoisie progressiste” aux éditions Raisons d’Agir. Reposant sur une enquête de terrain dans un quartier gentrifié de Boston, cette étude retrace l’histoire d’un pouvoir local s’appropriant progressivement un espace et met au jour les transformations des stratégies de distinction sociale au sein des classes dominantes. Elle a ensuite commencé à s’intéresser à la «gay-friendliness » à Paris et à New York. Elle a coordonné la rédaction d’un rapport sur le sujet, rendu à la Mairie de Paris en janvier 2014 :
« Les hétéros du Marais, enquête sur la gay-friendliness » (avec Colin Giraud, Mathieu Trachman, Wilfried Rault), et a publié, en 2018, le livre qu’elle présentera (toujours aux éditions Raisons d’agir).
Quelles sont les diverses façons d’être “gayfriendly” ? Il existe des
attitudes différentes, en France et aux États-Unis, variables selon les âges, le sexe et les parcours de vie. L’acceptation de l’homosexualité,qui progresse indéniablement, n’est pas non plus réservée aux plus riches : ces derniers l’ont plutôt intégrée au
sein d’une morale de classe qui leur permet de se distinguer des
pauvres, des habitants des banlieues ou encore des populations racisées.
Interviewer des hétérosexuels de milieu aisé montre que, dans des espaces de tolérance et de mixité comme le Marais à Paris et Park Slope à Brooklyn, le contrôle n’a pas disparu : la sympathie s’exprime avant tout en direction de gays et de lesbiennes de même statut socioéconomique, qui manifestent leur envie de couple et de famille, et mettent en sourdine tout autre revendication. La “gayfriendliness” a donc fait reculer la violence et les discriminations ; elle accompagne aussi l’invention, par les femmes surtout, de modes de vie moins conventionnels. Pourtant, si elle a mis fin à certains préjugés, elle ne s’est pas encore complètement affranchie de ce qui reste un élément structurant de nos sociétés : la domination hétérosexuelle.
Réservation souhaitée à l’adresse courriel librairie@tulitu.eu
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles