Jeudi 19 juin de 18h à 20h – Séance de dédicace avec Pierre Lecrenier

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/seance-de-dedicace-avec-pierre-lecrenier-tickets-1380274571399?aff=oddtdtcreator

Bienvenue au bédéiste Pierre Lecrenier pour une séance de dédicace de sa bd L’orangeraie parue chez Rue de Sèvres.

Cette bd est une adaption du roman L’orangeraie de l’auteur québécois Larry Tremblay paru chez Alto.

Amed et Aziz, frères jumeaux de neuf ans, vivent paisiblement à l’ombre des orangers dans un pays du Moyen-Orient. Un jour, un obus traverse le ciel, tuant leurs grands-parents et s’emparant de leur enfance. Un des chefs du village demande alors à leur père de sacrifier un de ses fils derrière les lignes ennemies, en hommage aux défunts.

Les dessins de Pierre Lecrenier nous donnent une version lumineuse de ce texte émouvant tellement d’actualité.

Avec le soutien de la

Vendredi 13 juin de 18h à 20h – séance de dédicace avec la bédéiste Chameu

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/seance-de-dedicace-avec-la-bedeiste-chameu-tickets-1377367576499?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à la bédéiste Chameu pour une séance de dédicaces de sa BD la fontaine de jouissance publié par nos ami.e.s des Editions Labrys.

Cette BD est la deuxième des éditions Labrys qui propose du sexe queer, produit uniquement par des auteurices queers. L’objectif est aussi de défendre une autre manière de concevoir les rapports entre les genres.

Il existe de nombreuses légendes dans le Royaume à propos d’une fontaine aux pouvoirs incroyables située dans le palais royal. Solange, chevalièr·e en quête de gloire, et Flore, mercenaire prête à tout, entendent bien en percer le mystère. Entre soumission et domination, les jeux de la cour leurs réserveront bien des surprises…

Un conte médiéval qui redéfinit les genres !

Margot Strintz est une illustratrice indépendante et autrice de bande dessinée vivant à Paris. Elle a étudié l’illustration et la conception de livre-objet à l’école Estienne ainsi que la bande dessinée à l’école Renoir (toutes deux à Paris). Son univers s’oriente autour de la sexualité. Une sexualité plus variée, notamment une érotisation du corps masculin et la représentation de couples LGBTQ+ sont au coeur de son travail.

Avec le soutien de la

Mardi 10 juin à 18h à la Bellone – Rencontre avec Rose Lamy

Réservation indispensable : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-rose-lamy-tickets-1333831980359?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Rose Lamy à l’occasion de la parution de son nouveau livre Ascendant Beauf paru au Seuil.

ROSE LAMY est la créatrice du compte Instagram « Préparez-vous pour la bagarre ». Ses deux premiers essais, Défaire le discours sexiste dans les médias (Lattès, 2021), et En bons pères de famille (Lattès, 2023), sont des titres incontournables pour décortiquer le monde du patriarcat.

Dans son livre Ascendant beauf, Rose Lamy revient sur son histoire et nous raconte le coût d’une existence déterminée par la classe sociale. La mort prématurée, les emplois aliénants, les déserts sociaux et médicaux… Elle montre tout ce que la figure du beauf et ses avatars permettent d’invisibiliser.

Avec Ascendant beauf, Rose Lamy tisse un récit de la domination culturelle, mais côté dominée. Films, émissions de télévision, livres, souvenirs, elle interroge les formes et les fonctions de ce mépris, porté aussi parfois par le camp politique historique des classes populaires : la gauche. Un essai puissant pour se libérer de cette domination et cesser de (se) trahir.

La rencontre sera animée par Manon Didierjean, libraire chez TULITU.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Mardi 17 juin à 18h à la Maison Amazone – Rencontre avec Bo Rainotte

Bienvenue à Bo Rainotte pour son premier livre Biche Boy paru aux Editions Maelstrom.

Il s’agit d’une version poétique et condensée du journal intime qu’il a écrit depuis son plus jeune âge. Il y raconte son enfance et aussi son parcours d’artiste et sa transition.

La rencontre sera animée par Ariane Herman, libraire chez TULITU.

La Maison Amazone se situe au 10 rue du Méridien à Saint-Josse.

En partenariat avec la Maison Amazone

Avec le soutien de la

Mercredi 4 juin à 18h à la Bellone – Rencontre autour du premier numéro de la revue de la collective Bye Bye Binary

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-autour-de-la-revue-de-la-collective-bye-bye-binary-tickets-1333785892509?aff=oddtdtcreator

Bye Bye Binary est une collective franco-belge qui explore de nouvelles formes typo·graphiques adaptées à la langue française en prenant pour point de départ, terrain d’expérimentation et sujet de recherche le langage et l’écriture inclusive et post-binaire, notamment par le dessin de caractères, la création de ligatures, de points médians, d’éléments de liaison ou de symbiose.

Proposer des écrits situés, par les personnes concernées, est essentiel pour la constitution des archives vivantes d’une pratique typo·graphique qui visibilise les personnes minorisées. Ce mouvement ne cesse de s’étendre, malgré les charges de ceux qui détiennent le pouvoir de décider du lisible, et donc du visible. La revue Bye Bye Binary alimente ainsi le débat sur la charge politique du design graphique, du langage, des représentations des corps et des identités.

Au sommaire de ce premier numéro édition par les Editions Surfaces Utiles :
• les membres de BBB se réapproprient collectivement le texte « Imaginaires typographiques inclusifs, queer et non-binaires », publié en 2021. Iels y mettent à jour l’avancée de leurs recherches et font l’état des lieux de la place de l’écriture inclusive en France et en Belgique;
• un texte de Sophie Vela se penche sur l’accessibilité de la typographie post-binaire et pose les enjeux de l’étude lancée par l’autrice concernant sa lisibilité;
• une contribution de Nina Paim (Bikini Books, Futuress) qui est partie à la rencontre d’acteur·ices et militant·es de la typographie inclusive en portugais;
• les Mots Flex, une grille de mots fléchés par Chloé Horta avec le lexique de la collective;
• deux mises en scène graphiques des libertés formelles adoptées par la collective pour entrelacer les glyphes dans une perspective post-binaire. Clara Sambot et Léna Salabert Triby y déploient tout le potentiel des caractères dessinés par la collective.

Dans l’édito, les membres de Bye Bye Binary manifestent leurs intentions pour la revue : un lieu de ressources que l’on conseille, un espace de parole et d’émotions, de prospection, de relation, de réparation, de démonstration de la typographie post-binaire : « Nos vies sont fragiles, comme nos ligatures, comme nos grammaires fugitives, on ne sait pas ce qu’on invente, mais on sait que ça nous dépasse, que c’est pour nous et au-delà. » C’est pourquoi chaque numéro aborde également les questions de genre dans d’autres langues que le français.

La revue aspire à faire s’embrasser différentes lisibilités. Une multitude d’actions typo·graphiques enrichit les textes comme des paillettes, comme des voix qui se font entendre et bouleversent les habitudes de lecture. L’esthétique devient alors politique, elle joue avec les normes et leurs marges tant à l’écrit que dans sa mise en page.

La rencontre sera animée par Manon Didierjean, libraire chez TULITU.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Mardi 22 avril à 18h – salle Gansbeek au Grand Hospice – Rencontre autour du livre “La domination oubliée” de Tal Piterbraut-Merx

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-autour-du-livre-la-domination-oubliee-de-tal-piterbraut-merx-tickets-1310551166819?aff=oddtdtcreator

Le projet de Tal dans son travail de thèse était d’approcher les relations adulte-enfant au prisme des rapports sociaux de domination. Dans l’article “Conjurer l’oubli”, il explique que les rapports adulte-enfant “appartiennent à la grande famille des rapports de pouvoir (classe sociale, genre, race, etc.) et doivent [être] analysés en tant que tels”. Cette approche en termes de rapports sociaux de domination vise à une repolitisation de la question de la catégorie de l’enfance, voire de “la classe”, des enfants, et de la relation adulte-enfant.

On met dans la nature ce qu’on veut évacuer de l’horizon politique : contrairement aux rapports de pouvoir que sont la classe, le genre et la race, les rapports adulte-enfant semblent encore inscrits dans un ordre naturel. Pourtant, l’institution familiale, censée protéger, est le lieu où les violences faites aux enfants sont les plus fréquentes. Dont acte : loin de remédier à la fragilité naturelle de l’enfant, les institutions sociale et familiale produisent cette vulnérabilité.

En croisant philosophie politique et théories féministes, Tal Piterbraut-Merx dénaturalise et repolitise la domination adulte. La classe des enfants est dominée à la fois par le statut de minorité, par la dépendance économique et par les pratiques d’éducation. C’est l’oubli, par les adultes, de leur expérience de la minorité, qui contribue à perpétuer la domination en imposant le silence. Quelles stratégies de lutte pour combattre cette domination oubliée ? L’auteur en appelle à rester fidèles aux enfants que nous étions en nous remémorant collectivement nos enfances.

Tal Piterbraut-Merx était chercheuse en philosophie politique, écrivain et militant. Suite à son suicide, un collectif d’ami·es a établi cet ouvrage à partir du manuscrit inachevé de sa thèse : Texte revu, adapté et enrichi par Anaïs Bonanno, Élise de la Gorce, Selma (Sam) Ducourant, Félicien Faury, Léo Manac’h, Margaux Nève, Pierre Niedergang, Marion Pollaert, Audrey Smadja Iritz et Léa Védie-Bretêcher.

Un ouvrage publié chez nos ami.e.s de Blast.

Ariane Herman introduira la discussion entre Anaïs Bonanno, Selma (Sam) Ducourant et Marion Pollaert.

La rencontre se tiendra dans la salle Gansbeek du Grand Hospice 7 rue du Grand Hospice à 1000 Bruxelles

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Jeudi 27 mars à 18h – Rencontre avec Capucine Delattre

Réservation souhaitée : https://www.eventbrite.be/e/rencontre-avec-capucine-delattre-tickets-1251813731569?aff=oddtdtcreator

Capucine Delattre était venue nous présenter son roman Un monde plus sale que moi paru à la Ville Brûle.

La voici de retour, à notre plus grande joie, pour son troisième roman De son sang paru lui aussi à la Ville Brûle.

Dans ce roman, elle y questionne le mythe de l’amour maternel à travers le parcours et le regard porté sur une femme perçue comme monstrueuse entre toutes : une femme qui n’aime pas son enfant et ne s’en cache pas.

La rencontre sera animée par Ariane Herman.

En partenariat avec

Avec le soutien de la

Mardi 11 mars à 18h à la Bellone – dixième anniversaire de TULITU

Dix ans déjà! Nous avons demandé à Clara Sambot de créer une belle affiche pour l’occasion!

Cet anniversaire est l’occasion de vous dire merci, vous qui nous avez soutenues pendant toutes ces années.

Que de belles rencontres, de beaux échanges, de belles personnes!

Au programme de la fête :

Rencontre autour de la poétesse Marie Ugay publiée en Europe francophone par nos ami.e.s de l’Arbre de Diane.

Cinq livres coups de cœur présentés par nos allié.e.s

A partir de 19h30, drink pour refaire le monde.

Avec le soutien indéfectible de

En partenariat avec la

Réservation souhaitée : https://www.eventbrite.be/e/dixieme-anniversaire-de-tulitu-tickets-1251798806929?aff=oddtdtcreator

Mercredi 26 février de 18h à 19h30 – Séance de dédicace avec Camille Pagni et Anaïs Félix

Pour réserver : https://www.eventbrite.be/e/seance-de-dedicace-avec-camille-pagni-et-anais-felix-tickets-1226417360339?aff=oddtdtcreator

Bienvenue à Anaïs Félix (scénariste) et Camille Pagni (dessinatrice) pour une séance de dédicace de leur bd Les nébuleuses parue aux Editions Jungle.

Nébuleuse. Objet céleste, composé de gaz et de poussières interstellaires, impliqué dans la naissance des étoiles. Ensemble dont les relations sont imprécises.
Camélia et Tom vivent à Bruxelles. Elle est doctorante en astrophysique, et lui est passionné par la littérature. Ils se rencontrent, tombent amoureux et là commence leur histoire. Ils se découvrent dans cette relation et lorsque la question de l’asexualité apparaît dans leur couple, ils se retrouvent confrontés à leurs désirs respectifs. Ils vont chercher alors, dans les nébuleuses des relations amoureuses, ce qu’aimer signifie.

Avec le soutien de la